LE PARI (MAMAN/FILLE FUTA)

Sa tête était couverte de sueur et sa bite devenait rouge à cause de l'anneau pénien serré de fortune. Je n'ai pas pu voir sa chatte mais j'imaginais qu'elle était tout aussi en mauvais état.

Je poussai brutalement sa tête vers le bas pour voir les liens, voir s'ils tenaient. Ils étaient tels que je les avais laissés. J'ai dû me féliciter pour celui-là. J'avais fait en sorte de mettre les nœuds de ses poignets sur le côté de ses auriculaires pour que ses pouces ne puissent pas les défaire.

"On dirait que tu ne sortiras pas de sitôt là-bas."

"Tu es un peu," répondit-elle.

"Eh bien, tu es une garce qui a été ligotée par ta fille de dix-huit ans alors peut-être que tu ne devrais pas dire de la merde si tu n'es pas prête à le prendre."

Elle marmonna quelque chose à travers le bâillon mais c'était incompréhensible.

« Et regarde toute cette bave ! J'ai pris un doigt et l'ai fait glisser le long de sa poitrine, entre ses seins et les cordes. Il est revenu lisse avec sa salive. « Je veux dire, mon doigt est trempé !

Tout ce qu'elle a fait, c'est secouer ses seins et continuer à essayer de faire en sorte que ses auriculaires dénouent les nœuds. C'était assez chaud de la voir si frustrée, sachant que j'étais aussi doué pour les cordes. Imaginez ce que je pourrais faire avec une fille qui n'était pas ma mère, comment je la baiserais avec ma grosse bite, la rendant folle alors qu'elle était impuissante à l'arrêter.

Au lieu de cela, j'étais coincé avec ma mère ennuyeuse. Au moins, je me vengeais.

Je me suis effondré sur le canapé et j'ai continué à regarder la télévision jusqu'à ce que la minuterie sonne. Elle n'avait pas pu s'échapper à temps, ce qui signifiait que j'avais marqué un point. J'ai applaudi et je l'ai poussée sur le canapé pour qu'elle soit allongée sur le côté, juste pour jouer avec elle.

"Ey ! Ne fais pas ça !" Elle a crié en retour.