- Rhâââââ… Merci maîtresse, merci de me punir, merci de me faire payer durement tout le mal que j’ai fait, soyez dure maîtresse, je le mérite. Je ne m’y fais pas. Je suis en train de lui broyer les couilles à les faire éclater, et il en redemande. Je l’imagine pris par l’ennemi lors d’une de ses missions passées et réclamer le fer rouge sur la queue pour prendre du plaisir. J’attrape un plug de taille très conséquente, préparé (et lubrifié d’avance) pour l’occasion.
- Écarte ton cul de salope ! Alors que ses deux mains écartent ses superbes fesses, j’enfonce le plug sans grand ménagement.
- Arrrgh, Aïe, merci maîtresse. Si on m’avait fourré de cette manière un plug de cette grosseur, je pense que je me serais évanouie.
- Suffit maintenant, sers-moi à boire (montrant la bouteille de Gin et le Shweppes lemon), et viens me servir de repose-pieds. Tandis que je sirote la boisson qui finira de me désinhiber totalement et que je fume une cigarette, je plante allègrement mes talons dans le bas de son dos, dans la chair de ses fesses charnues. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres, il a mal, il est heureux…
Il est 13H, j’ai repéré à deux reprises un coin vaguement homo assez fréquenté le samedi. En s’enfonçant un peu dans le bois, les pratiques m’ont parues bien plus chaudes et vicieuses et surtout faites en groupe. Avec mon légionnaire baraqué, je ne crains pas grand-chose. D’une précédente fin de soirée un peu arrosée avec lui j’ai bien compris que 10 adversaires à mains nus ne lui font pas peur, je vais donc pouvoir me promener en forêt en tenue de vraie pute sans prendre de risque (vu mon apparence, le viol pourrait en tenter certains...). L’idée du vent frais entre les fesses m’excite déjà…
- Habille-toi, prends ce sac et allons-y !
Mon immeuble possède deux sorties, dont une plus discrète. Je croise malgré tout un de mes voisins, un retraité, qui me gratifie d’un large sourire et d’un « Mademoiselle... » en me tenant la porte. Mon travestissement fait visiblement effet, je suis une jeune femme très sexy et agréable à regarder (dommage que je ne puisse révéler qui je suis à ce voisin veuf, sa proximité aurait été pratique pour des jeux coquins).
Je me tiens au bras de Boris pour faire les 300 mètres qui nous séparent de sa voiture. Quelques regards s’attardent sur moi, ma silhouette sexy ne laisse pas indifférent, je suis très satisfaite.
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